Danse, théâtre, documentaires, débats vont faire vivre ce premier festival « Made in WIP ». L'espace WIP s'est donné pour mission d'offrir une résidence à des artistes engagés dans une démarche de création tournée vers la société. Ils expriment ainsi des thématiques sociales dans un art qui emprunte à tous les genres modernes ; utilisation des nouvelles technologies cultures urbaines, vidéos.
Pour cette première programmation, qui « correspond aux ambitions du WIP de coller à l'actualité », comme l'explique Najla Fezzani du WIP, le monde arabe sera à l'honneur, un an après les révolutions tunisiennes et égyptiennes. Les artistes ont été spécialement choisis pour participer à ce festival par l'équipe du WIP. « Seule Karine Fourcy qui met en scène "Traversées nomades", vient de finir une résidence au WIP. »
Pour cette première programmation, qui « correspond aux ambitions du WIP de coller à l'actualité », comme l'explique Najla Fezzani du WIP, le monde arabe sera à l'honneur, un an après les révolutions tunisiennes et égyptiennes. Les artistes ont été spécialement choisis pour participer à ce festival par l'équipe du WIP. « Seule Karine Fourcy qui met en scène "Traversées nomades", vient de finir une résidence au WIP. »
Des créations tournées vers la société
Sur le modèle de cette création, ancrée dans la vie sociale, les performances programmées au WIP s'inspirent du monde contemporain mais veulent aussi le questionner. Avec « Wagons libres », Sandra Iché interroge le journaliste libanais Samir Kassir avec une hypothèse farfelue : nous sommes en 2030 et l'auteur de « Considérations sur le malheur arabe » doit questionner la sociétés actuelles.
« Made in WIP, révolution(s) » se veut aussi une vitrine pour les cultures urbaines et expérimentales. L'Egyptien Ahmad Abdallah propose ainsi un voyage documentaire au cœur de l'Alexandrie underground, celui des graffeurs, des rockeurs et des artistes hip-hop. « Microphone » pointe ainsi la caméra sur ces artistes hors champ, qui participent à la vitalité artistique du monde arabe.
Ces représentations sont à voir du vendredi 17 au samedi 25 février, à La Villette, programme complet ici. Des performances de danse et un débat, en présence de tous les artistes, aura lieu le samedi 25 février. Modéré par Pierre Haski, cofondateur de Rue 89, ce débat aura pour thème les « révolutions arabes », leur impact sur les sociétés et l'avenir du monde arabe. Ce sera aussi l’occasion pour le public de s'exprimer sur ces révolutions, vues d'Occident, où ce vent de changement a fait plutôt peur à certains.
« Made in WIP, révolution(s) » se veut aussi une vitrine pour les cultures urbaines et expérimentales. L'Egyptien Ahmad Abdallah propose ainsi un voyage documentaire au cœur de l'Alexandrie underground, celui des graffeurs, des rockeurs et des artistes hip-hop. « Microphone » pointe ainsi la caméra sur ces artistes hors champ, qui participent à la vitalité artistique du monde arabe.
Ces représentations sont à voir du vendredi 17 au samedi 25 février, à La Villette, programme complet ici. Des performances de danse et un débat, en présence de tous les artistes, aura lieu le samedi 25 février. Modéré par Pierre Haski, cofondateur de Rue 89, ce débat aura pour thème les « révolutions arabes », leur impact sur les sociétés et l'avenir du monde arabe. Ce sera aussi l’occasion pour le public de s'exprimer sur ces révolutions, vues d'Occident, où ce vent de changement a fait plutôt peur à certains.